Les difficultés d’apprentissage chez les élèves du primaire sont devenues récurrentes dans les écoles. Parfois confondues par certains parents avec les troubles d’apprentissage qui empêchent les enfants d’assimiler les leçons. Parlant des troubles dys, il s’agit de : dyslexie, dyscalculie, dysorthographie, dyspraxie ou encore dysphasie.
Dans les deux cas, l’apprenant est souvent exposé à des problèmes de langage. À l’école comme à la maison, il est très fréquent que les enfants atteints de troubles n’aient plus aucune motivation pour agir ou apprendre.
Pourtant, la véritable réussite scolaire commence par l’apprentissage dès le plus jeune âge et les progrès qui s’en suivent. C’est pourquoi il est essentiel de diagnostiquer les problèmes qui empêchent votre enfant d’exceller à l’école pour comprendre la nature des difficultés et intervenir immédiatement.
Ce guide, écrit par Eugénie Pettigrew-Leydier, orthopédagogue de formation universitaire au Québec et fondatrice d’Aideor, vous fournit des informations importantes et vulgarisées sur les difficultés et les troubles d’apprentissage au primaire.
Différence entre difficultés d’apprentissage et troubles d’apprentissage
Lorsqu’on parle des difficultés d’apprentissage chez les élèves du primaire, vous ne devez pas les confondre avec les troubles d’apprentissage. Afin d’appréhender au mieux la différence, voyons d’abord la définition de chaque concept.
C’est quoi les difficultés d’apprentissage ?
Les difficultés d’apprentissages sont les facteurs passagers qui empêchent l’enfant de bien travailler à l’école. Grâce aux interventions adaptées, elles peuvent être surmontées rapidement. Lorsque votre enfant rencontre des difficultés, voici quelques points, parmi bien d’autres, qui seraient à l’origine :
- Au niveau pédagogique :
- Stratégies d’apprentissage d’étude au programme qui ne sont pas efficaces,
- Techniques d’apprentissage de l’enseignant qui ne correspondent pas au style de l’élève,
- Transferts réguliers des apprentissages qui ne sont pas faits.
- Au niveau cognitif
- Des problèmes d’attention et d’écoute active qui ne lui permettent pas de bien mémoriser les informations et de suivre correctement ce qu’on lui enseigne,
- Présence de difficultés sur le plan du langage qui touchent les capacités de l’enfant à lire et à écrire correctement,
- Une difficulté de la motricité graphique qui lui exige toute son énergie pour tracer les caractères, les lettres et les courbes.
- Au niveau familial ou sentimental
- Divorce au sein des parents,
- Conflits familiaux,
- Anxiété de rendement qui bloque,
- Manque de motivation ou tout désengagement pour les études.
Voici un article détaillé qui explique tout sur la même thématique : ‘’Comment savoir si mon enfant rencontre des difficultés d’apprentissage ?’’ Vous y découvrirez d’autres informations sur les difficultés d’apprentissages.
Définition des troubles d’apprentissage
Les troubles d’apprentissage sont les dysfonctionnements d’origine neurologique qui empêchent les enfants de bien comprendre le langage oral et écrit ainsi que les mathématiques. Un élément essentiel à retenir ici est que les difficultés qui résultent du trouble d’apprentissage ne peut pas s’expliquer par une déficience intellectuelle, un déficit sensoriel, un trouble psychologique ou psychiatrique ni par des facteurs psycho-sociaux ou environnementaux. Semble-t-il compréhensible ? Sinon, je l’explique en d’autres termes.
En effet, en milieu scolaire, par exemple, les élèves porteurs de troubles ont des difficultés dans les mathématiques, l’orthographe, la lecture. De manière générale, les enfants ayant des troubles d’apprentissage ont un véritable problème pour recevoir, analyser et retenir une information.
Cependant, ce n’est pas à dire que ces élèves sont moins intelligents que les autres camarades. Au contraire, ils ont une intelligence normale et parfois supérieure à celle des autres enfants.
Maintenant, où est la différence entre les deux concepts ?
Inversement aux difficultés d’apprentissage, les troubles d’apprentissage sont :
- Persistants et permanents
Puisque les capacités cognitives impliquées aux apprentissages scolaires sont affectées, les troubles d’apprentissage perdurent durant toute la vie. Mais ne vous inquiétez pas ! Ils peuvent être estompés considérablement à travers une rééducation et par l’apprentissage de moyens compensatoires. Et c’est exactement ce que les orthopédagogues d’Aideor font avec les élèves francophones à travers le monde entier.
- Présents dès le bas-âge chez les enfants
Il est possible que des traits de troubles d’apprentissage puissent s’observer dans la vie d’un enfant dès le bas-âge, notamment en affectant son langage. Notons que le retard de langage est totalement différent des troubles d’apprentissage et, tel que mentionné plus haut, n’est nul lié à un déficit auditif. En effet, un retard marqué dans les apprentissages est souvent retrouvé, en fonction des normes de l’âge, bien avant l’âge préscolaire.
- Dépendants du développement
Lorsque votre enfant présente des traits qui s’apparentent à un trouble, il est fortement recommandé de faire un véritable diagnostic. En faisant une évaluation orthopédagogique, vous pourriez identifier clairement les forces et les faiblesses de votre enfant. Cela permet de connaître la nature de ses difficultés scolaires, lesquelles ne s’expliquent pas par des facteurs externes, un manque d’intelligence ou de motivation.
Quels sont les symptômes et signes des troubles et difficultés d’apprentissage chez les élèves du primaire ?
Remarquez-vous les signes ci-après chez votre enfant ?
- Présence d’anxiété ou perte de motivation à aller à l’école,
- Faibles résultats scolaires malgré les efforts et du temps investis à la révision,
- Développement jugé anormal,
- Difficultés à faire des liens et à mémoriser,
- Manque d’intérêt envers les livres.
Est-ce que votre enfant inverse la position des lettres dans un mot ? Ou il :
- Confond certains sons et certaines lettres,
- Supprime des mots, en ajoute ou en change,
- Manque de stratégie pour comprendre le sens du texte,
- Arrive difficilement à exprimer les idées d’un texte,
- Éprouve des difficultés à comprendre les résultats des problèmes mathématiques,
- A des difficultés à établir la correspondance de l’oral à l’écrit,
- Adopte des structures de phrase parfois inadéquates.
Cela doit vous inquiéter davantage si votre enfant a des difficultés :
- À lire les nombres à plusieurs chiffres,
- Avec les nombres et les valeurs de position,
- À effectuer un calcul mental et à résoudre des problèmes,
- Pour commencer une tâche volontairement ou dans la planification,
- À contrôler ses émotions,
- Aux changements,
- À mémoriser.
Lorsque nous parlons des troubles d’apprentissage chez les élèves du primaire, ils se présentent sous différentes formes surtout s’il s’agit des troubles dys. Voyons les plus répandus.
Les différentes formes de troubles d’apprentissage
Voici les différents types de troubles d’apprentissage :
1. La dyslexie
Encore appelé troubles dys, la dyslexie est un trouble qui agit sur la capacité de l’enfant à bien lire et écrire en général. Elle est caractérisée par :
- Une grande difficulté à prononcer les lettres et à réussir la syllabation,
- Incapacité de lire un texte du début jusqu’à la fin,
- Incapacité à faire une lecture à haute et intelligible voix,
- Mauvaise compréhension des textes lus,
- Grande difficulté à écrire sur la ligne.
- Inversion des articles (‘’la’’ à la place de ‘’le’’ ou ‘’une’’ à la place de ‘’un’’
- Etc.
Comme nous l’avons mentionné ci-haut, les enfants dyslexiques ne sont pas paresseux ou moins intelligents. Au contraire, ils peuvent même être plus compétents et habiles que les autres. Voici un article intitulé ‘’La dys dans le monde : La dyslexie et les personnes célèbres’’ qui mentionne le nom de quelques célébrités qui ont réussi malgré la présence d’un trouble dys.
Nous avons vu les différents signes qui peuvent vous faire penser à une dyslexie. Voyons à présent les types de dyslexie qui existent.
Différents types de dyslexie
Nous avons :
Dyslexie phonologique :
C’est la première forme de dyslexie que beaucoup connaissent chez les personnes dites dyslexiques. Aussi appelé dyslexie dysphonétique, elle empêche l’enfant de réussir la conversion grapho-phonémique. C’est dû à une déficience sur les plans phonologique et de la voie d’assemblage. Ainsi, lorsque votre enfant ou votre élève souffre de ce type de dyslexie, il n’arrive pas à bien décoder les mots afin de bien les prononcer.
Dyslexie de surface
Dans ce deuxième cas, l’élève lit et comprend aisément un mot qu’il a rencontré et prononcé au moins une fois. Cependant, lorsqu’il fait face à un nouveau mot ou à un mot qui ne se lit pas comme il s’écrit, il éprouve des difficultés à le prononcer et à le comprendre.
Exemple : ‘’poids’’ ; ‘’tabac’’.
Bref, la compréhension des mots irréguliers pose problème aux personnes atteintes de la dyslexie superficielle.
Dyslexie à deux déficits ou dyslexie mixte
Les enfants souffrant de dyslexie mixte cumulent les deux formes précédentes (dyslexies phonologique et superficielle).
À travers la description des signes et les différents types de dyslexie, vous pourrez certainement reconnaître si votre enfant souffre de ces troubles. Si ce n’est pas le cas, voici un article qui vous sera utile : Évaluation orthopédagogique : Définition et explication
2. La dyscalculie : Origine des difficultés d’apprentissage chez les élèves du primaire en maths
Tout comme la dyslexie affecte la capacité d’un enfant à lire et à écrire, la dyscalculie empêche un enfant de manipuler les chiffres. Il s’agit en fait d’un trouble de nature biologique causé par un mauvais développement du cortex pariétal.
Comment la dyscalculie se manifeste-t-elle dans la scolarité d’un élève ? Lorsque votre enfant ou votre élève a des difficultés persistantes à résoudre certaines opérations mathématiques, pensez à la dyscalculie. De plus, s’il éprouve de difficultés :
- À lire les nombres à plusieurs chiffres,
- Avec les nombres et les valeurs de position,
- À effectuer un calcul mental et à résoudre des problèmes,
- Pour commencer une tâche volontairement ou dans la planification,
- À contrôler ses émotions,
- Aux changements,
- À mémoriser.
De plus, l’utilisation des termes de comparaison comme : plus grand que ; plus que ; moins que ; etc… constitue un grand challenge pour les enfants dyscalculiques. Ils ont également de grandes difficultés de repérage. Dans ce cas, que faire ?
Comment savoir si votre enfant souffre de la dyscalculie ?
Même si tous les signes indiquent que votre enfant pourrait avoir une dyscalculie, il est important de dresser un diagnostic. Après les résultats des tests, n’attendez plus, appliquez nos conseils ci-dessous. Mais avant cela, voici les examens recommandés par nos orthopédagogues :
- Un bilan neurologique : Le neurologue sera chargé d’évaluer l’état mental de l’enfant. Le neurologue pourra confirmer que le problème de l’enfant n’est pas le résultat d’une lésion cérébrale.
- Un examen neuropsychologique : Seul le neuropsychologue pourra confirmer si l’enfant est atteint ou non de la dyscalculie.
- Une évaluation orthopédagogique : ce bilan permet aux spécialistes d’observer et d’identifier les processus impliqués dans les apprentissages de l’enfant. Ils examineront également le comportement global de l’enfant avec un regard centré sur les mathématiques.
Comment gérer les élèves dyscalculiques à l’école primaire ?
Maintenant que les évaluations confirment que l’élève souffre de dyscalculie, en tant qu’enseignant, on ne peut pas pénaliser l’élève pour ses erreurs.
Cependant, vous devez informer les camarades de classe de l’élève afin qu’ils soient tous conscients de ses difficultés. Cela permettra aux autres élèves de développer une bonne relation avec lui.
Du côté des parents, vous devez manifester beaucoup d’amour à votre enfant et éviter de le gronder pour ses erreurs. Gardez à l’esprit que ce n’est pas de sa faute !
Mettez votre précieux temps à contribution en apprenant à votre enfant à se familiariser avec les chiffres. Pour ce faire, il peut lire les prix des produits achetés au supermarché ou apprendre à lire l’heure sur une horloge. Vous pouvez également apprendre à votre enfant à mémoriser les numéros de téléphone de ses proches.
3. La dyspraxie
Dans un premier temps, nous définissons la dyspraxie comme une anomalie qui se traduit par des difficultés à effectuer des gestes et des mouvements de manière coordonnée et automatique. Ce trouble peut agir sur les activités physiques suivantes : la coordination œil-main, la course et la planification des mouvements.
D’autre part, elle est également appelée Trouble du Développement et de la Coordination (TDC) et Dyspraxie Développement (DD). Aussi, elle peut être associée à d’autres troubles, notamment le trouble déficitaire de l’attention (TDA/H) et le Trouble d’Acquisition de la Coordination (TAC).
Notons qu’il ne s’agit pas d’une maladie, mais d’un handicap invisible. La dyspraxie ne se guérit pas. Cependant, elle peut être considérablement réduite et on peut apprendre à s’adapter facilement.
Les différents types de dyspraxie et leurs manifestations dans la vie d’un élève
Tout d’abord, notons que les types de dyspraxie varient en fonction des domaines affectés, de la gravité et des causes sous-jacentes. Voici les plus courants :
- La dyspraxie idéomotrice
Cette forme de dyspraxie affecte la planification et l’exécution des mouvements volontaires. Ce type de dyspraxie affecte la planification et l’exécution de mouvements volontaires, notamment ceux utilisés pour écrire ou jouer des instruments de musique.
- Dyspraxie verbale
Cette forme de dyspraxie affecte la coordination nécessaire à la production des sons de la parole, y compris les sons des lettres et des mots.
- La dyspraxie idéomotrice visuo-spatiale :
Cette forme de dyspraxie affecte la capacité à planifier et à exécuter des mouvements dans l’espace. Par exemple, lors de la construction de puzzles ou de la réalisation de dessins.
- Dyspraxie constructive :
L’enfant a des difficultés à construire ou à assembler des objets, comme empiler des blocs ou reconstituer un puzzle. Il s’agit d’activités qui sont presque impossibles à réaliser pour l’enfant.
Il est important de souligner que plusieurs types de dyspraxie peuvent cohabiter chez une même personne et que les symptômes peuvent varier énormément d’une personne à l’autre.
4. La dysphasie : Autre forme de troubles d’apprentissage chez les élèves du primaire
La dysphasie est un trouble du langage qui affecte la capacité d’une personne à communiquer efficacement. En effet, un enfant dysphasique peut non seulement avoir du mal à communiquer, mais il peut aussi avoir des difficultés à comprendre ce qu’on lui dit.
Elle est généralement causée par un trouble neurologique qui affecte la façon dont le cerveau traite et produit le langage.
En fait, il existe plusieurs types de dysphasie :
- La dysphasie expressive
Ce premier type a une incidence sur la capacité de l’enfant à produire et à formuler des phrases ainsi qu’à prononcer des mots. Mais, ici, l’enfant n’a pas de difficulté pour comprendre.
- La dysphasie réceptive
Cette situation affecte la capacité de l’enfant à comprendre et à traiter les informations verbales qui lui sont présentées. Mais, il arrive à produire aisément les phrases.
- La dysphasie mixte
Cela affecte à la fois la production et la compréhension du langage chez l’enfant. Voici quelques signes pour savoir si votre enfant souffre de dysphasie mixte :
- Comprend difficilement ce qu’on lui dit,
- Remplace des mots par d’autres qui n’ont pas le même sens,
- Invente des mots,
- Répète des mots ou des phrases,
- Comprend difficilement son interlocuteur,
- Retient difficilement les mots entendus et peut tenir des discours incohérents.
2 solutions pour surmonter les difficultés d’apprentissage chez les élèves du primaire ayant une dysphasie
Il existe différentes solutions pour aider un élève atteint de dysphasie. Néanmoins, tout dépend du type et de la gravité des symptômes, ainsi que de l’âge de la personne concernée.
- La prise en charge du langage
Cette forme de solution consiste à travailler avec un orthophoniste pour améliorer les capacités de langage et de communication de la personne.
2. La rééducation comportementale et les aides technologiques
Cette forme de solution se concentre sur l’enseignement de nouvelles compétences comportementales et sociales. Cela permet d’aider l’enfant à mieux communiquer.
En outre, il existe des logiciels et des applications qui peuvent être utiles pour aider les élèves atteints de dysphasie à communiquer plus facilement. Il s’agit notamment d’applications, tel que Lexibar, que nos orthopédagogues utilisent pendant l’apprentissage en ligne.
5. La dysorthographie
C’est un trouble de l’apprentissage qui affecte l’automatisation de l’orthographe chez les enfants et les adultes. Ce trouble peut provoquer des sentiments d’isolement, de frustration et de déception chez les personnes touchées. Nous avons :
Dysorthographie phonologique
Elle se caractérise par des difficultés à associer les sons aux lettres et à écrire les mots correctement. Les élèves atteints de ce genre de dysorthographie sont susceptibles d’avoir des difficultés pour mémoriser et écrire des sons complexes comme ille, eil, gn, etc.
Dysorthographie lexicale ou de surface
Ici, les enfants atteints de cette forme ont des difficultés à mémoriser l’orthographe des mots. Par exemple, il sera très difficile de mémoriser l’écriture des mots irréguliers ou de ceux qui ont des lettres muettes. Il sera aussi problématique de leur demander de comprendre et d’appliquer les règles de grammaire.
Dysorthographie mixte
Dans ce cas, les personnes atteintes présentent des difficultés de l’ordre de la dyslexie phonologique et de surface. Il sera donc très ardu d’écrire des mots non connus ou peu fréquents, de décomposer une phrase en mots, de segmenter des mots et de reconnaître les similitudes et les différences entre les mots qui se ressemblent. Ils peuvent faire des erreurs de confusion visuelle et auditive, omettre des lettres, en inverser ou en changer.
Votre enfant présente un de ces troubles, ne vous inquiétez point ! Il existe en effet des solutions pour l’aider. Découvrez ICI plus d’informations sur les causes, manifestations et d’autres solutions sur la dysorthographie.
6. Le TDA/H
TDAH signifie ‘’Trouble du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité’’. Il s’agit d’un trouble neurologique qui affecte la capacité d’un individu à se concentrer, à contrôler ses impulsions et à réguler son comportement. Ce trouble peut être présent aussi bien chez les enfants que chez les adultes, et peut avoir des effets importants sur la vie quotidienne d’une personne.
Par ailleurs, il existe trois types de TDA/H qui sont : TDA/H inattentif ; hyperactif-impulsif et combiné.
Le TDA/H n’est pas une maladie, mais bien un trouble. Il est donc nulle question de parler de traitement ou de se guérir du TDA/TDAH. Il y a néanmoins des solutions pour aider les personnes atteintes à gérer leurs problèmes et à améliorer considérablement leur qualité de vie.
Difficultés d’apprentissage chez les élèves du primaire : Que conclure ?
En résumé, il est essentiel de comprendre que les difficultés d’apprentissage chez les élèves du primaire sont de plusieurs ordres. Les difficultés et les troubles d’apprentissage peuvent influer leur vie scolaire et personnelle sur différents aspects.
Par conséquent, il est indispensable d’adopter une approche individuelle et complète pour aider ces élèves à surmonter leurs difficultés scolaires et à atteindre leur plein potentiel.
Et c’est exactement la mission que Eugénie Pettigrew-Leydier s’est assignée, en 2012, à l’obtention de son diplôme universitaire pour être orthopédagogue. C’est aussi la mission qu’elle a donné à son entreprise AIDEOR, depuis 2018, en accompagnant en équipe plusieurs élèves francophones à surmonter leurs difficultés d’apprentissage. Contactez-nous dès maintenant pour recevoir les conseils des experts pour votre enfant qui a des difficultés ou des troubles d’apprentissage.
Ce guide a-t-il apporté des solutions à votre enfant ou à votre élève ? Si oui, n’hésitez pas à nous écrire vos impressions dans les commentaires.